• ...La fière jeune femme tenait son cheval par la bride et avançait nonchalamment dans la cour ensoleillée. Sa prestance attirait les regards de la gent masculine. Les nombreux employés du haras n'échappait pas à cette attraction. Tous sans exception la dévoraient des yeux. Il suffisait d’observer sa tenue pour se rendre compte qu’elle avait conscience de son éclat. Elle en jouait effrontément. Son buste moulé dans un T-shirt noir ultra échancré se balançait à chacun de ses pas. Sa jupe blanche très courte cachait à peine la moitié de ses cuisses dorées par le soleil estival et les mocassins en tissu qui complétaient sa tenue lui faisaient des jambes longues et fines. Ses cheveux blonds auréolaient son visage sous les rayons brûlants de l’astre lumineux. Elle se dirigeait vers l'un des garçons d'écurie qui attendait patiemment à côté du box de Sultan, le bel Arabe qu’elle montait chaque jour. Il attrapa l’animal par son licol. Mademoiselle le remercia sans un regard. Elle tourna les talons, hautaine et inaccessible. Même de dos sa silhouette suscitait le rêve, et le regard du jeune homme s'attarda sur le balancement de ses hanches. Elle se retourna vers lui pendant une fraction de seconde.Mademoiselle avait fait son choix. Sûre d'elle, elle se dirigea vers la remise à foin. Incapable de bouger, le jeune homme suivit des yeux, celle qui de sa démarche souple disparut derrière la porte du hangar, là où le grand bâtiment était désert une partie de la journée. Il réalisa alors que Mademoiselle s’isolait et qu’elle l'avait invité à la rejoindre. Les autres hommes étaient tous retournés à leurs occupations car ils savaient que jamais ils ne pourraient approcher cette jolie femme. Tout excité, le palefrenier s’occupa rapidement mais avec efficacité de l’animal qu’on lui avait confié. Il referma méticuleusement le box du cheval puis il alla se fondre dans l’obscurité de l’entrepôt. Mademoiselle l’attendait patiemment. Assise sur une botte de foin, les jambes serrées et le buste bien droit. Les yeux du jeune homme s’accoutumèrent rapidement au demi-jour et son regard avide se posa sur la charmante silhouette qu’il distinguait dans la pénombre. Il s’approcha lentement de la belle. Dès qu’il fut à sa portée elle posa une main ferme sur sa braguette. Souple comme une anguille, elle enveloppa ses parties dans sa paume et il ressentit la chaleur de sa main à travers le tissu épais de son jean. Lentement, elle se leva pour se lover contre lui. D'un baiser papillon, rapide et léger, elle l’embrassa dans le cou. Au moment où il allait exprimer son contentement, elle lui fit comprendre d'un mouvement de tête qu’elle ne souhaitait aucune parole. Elle guida les mains du jeune homme sur sa taille, l'invitant même à glisser ses doigts sous son T-shirt. Le contact de sa peau nue fit frissonner le galant qui avala sa salive avec difficulté. Il se risqua à caresser la donzelle, visant un lieu plus attractif. Pendant ce temps Mademoiselle entreprit de descendre la fermeture éclair du pantalon de sa conquête. Elle glissa ses doigts sur le membre déjà prêt à entreprendre son ascension. De sa main droite elle extirpa du slip l’objet de son désir et se mit à le caresser adroitement. Un râle de désir s’échappa des lèvres du palefrenier qui se mit à lécher avec avidité les tétons dressés de la jeune femme. Il agrippa ses fesses et la colla à lui. Elle se lova contre son torse et se mit à l’embrasser d’une langue gourmande et experte. N’y tenant plus, il la souleva et la porta jusqu’au tas de foin en vrac et l’y déposa délicatement. Elle avait le souffle court et son corps était chaud comme la braise. D’un geste sans appel il lui fit signe d’écarter les jambes et de ne pas bouger. Elle s’exécuta avec un plaisir évident, le regardant ôter sa chemise et son pantalon. Son sexe dépassait du boxer blanc et Mademoiselle passa sa langue avec avidité sur ses lèvres sèches lorsque le sous-vêtement disparut à son tour. Le bellâtre bandait comme un taureau en rut. Il s’allongea à ses côtés, l’embrassant et caressant ses seins qu’il découvrit complètement en ôtant le T-shirt qui les emprisonnaient. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Il fit glisser la jupe et une minuscule petite culotte qui pudiquement protégeait une chatte déjà bien humide. Mademoiselle frissonnait sous les doigts de son amant qui explorait maintenant son anatomie intime. Il caressa tendrement le sillon rose qui allait bientôt s’ouvrir sous ses coups de boutoir. Il glissa un doigt puis deux dans cette fente qui battait à l’unisson de son sexe prêt à exploser. Il titilla son clitoris avec le seul désir de donner du plaisir à cette jolie femme qui l’avait choisi pour ses ébats sexuels. Il permit enfin à Mademoiselle de bouger et de s’activer à son tour. Pendant qu’il jouait avec sa petite chatte à la fine toison dorée, elle s’empara de ses bourses qu’elle se mit à malaxer délicatement entre ses paumes. Il râla de nouveau et l’encouragea à le chevaucher. Elle prit le temps de lécher son gland turgescent et de sucer sa verge à l’en rendre fou. Elle l’enfourcha tel son alezan quelques heures plus tôt et se mit à caresser son pieu avec sa petite chatte toute dégoulinante. Elle s’activait en un galop fantastique qui allait les conduire tous deux à la jouissance. Il tenait ses seins dans ses paumes et en suçait la pointe tendue, les caressant de sa langue. Soudain elle s’arrêta net. Puis elle guida d’une main tendre ce pieu qu’elle avait aiguisé avec passion dans son antre de délices. Elle se laissa glisser sur le sexe de son amant et calmement elle attendit qu’il lui donne son premier coup de rein. Il bougea lentement en elle appuyant de sa verge dure comme la pierre contre son clitoris, elle gémit et ondula sous l’effet du plaisir. Ils dansèrent ainsi pendant de longues minutes puis il la fit rouler sous lui, l’emportant dans un tourbillon d’extase. Elle écartait largement les cuisses pour qu’il puisse donner toute sa puissance. Mademoiselle s'agitait comme si elle voulait lui échapper mais à chacun de ses coups de reins elle hurlait de plaisir, il tentait d'étouffer ses cris de ses lèvres. De son sexe exalté, il martelait avec frénésie celui de sa partenaire. Il s'enfonçait dans ce temple humide en de rapides va-et-viens qu'ils ralentissaient lorsqu'il la sentait prête pour l'orgasme. Il faisait traîner le moment fatidique mais il la sentit se crisper sous lui. Jambes écartées, elle relâcha son corps qui tremblait de volupté. Bruyamment à son tour il cria son plaisir, lâchant sa chaleur en elle. Il eut droit à un sourire magnifique et elle s'étira comme un chat. Après l'avoir embrassé langoureusement, elle essuya sa chair mouillée avec un mouchoir en papier qu'elle tira de la poche de sa jupe. La mâtine avait donc tout prévu. Nue, elle se laissa admirer par son jeune amant pendant quelques instants, puis elle se rhabilla avec dextérité. Elle le gratifia d'un dernier baiser et disparut dans la pénombre. Le jeune garçon remit lentement ses vêtements et s'attarda encore un moment dans la grange avec le secret espoir de la voir revenir près de lui...

    Ceci est le tout premier de mes textes (écrit en 2012) et paru sous le titre de "Mademoiselle et son palefrenier". Revisité aujourd'hui pour vous...


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